Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
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Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
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Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
Disons simplement que Roland Shön fait sa révolution permanente, sans drapeau ni slogan, dans son théâtre d’âmes et ses réalisations plastiques, qu’il se donne pratiquement toutes les libertés de faire et de penser, manipulant traits d’humour et masques métaphysiques, décalage de mots et d’images, détournement d’objets et idées. Il nous fait entendre, avec ce défilé de créatures qu’on a envie de suivre jusqu’à la porte du théâtre, la musique jubilatoire des clowns et la poésie grave qui se lit sur les lèvres du funambule avant qu’il ne se lance dans le vide. Et quand le rideau de la salle se lèvera, que la lumière sera, Roland Shön lancé en l’air par je ne sais quel artifice de magicien capable de ridiculiser les lois de la pesanteur, retombera avec justesse après de multiples sauts périlleux sur ses pieds exactement là où on ne l’attendait pas.
Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
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Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
Fresque (10m sur 3m) commandée par L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise .
…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
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Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.
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…….Car Roland Shön n’est pas un être simple et unique. Il est double, triple, quadruple et même certaines fois infini. Quand on pense pouvoir le cerner, il déguerpit comme un psychanalyste à qui l’on demanderait la recette du bonheur, il est un peu comme une truite de Schubert qui remue encore dans l’assiette alors que le pianiste est déjà rentré dormir chez lui. Curieuse image, n ’est-ce pas, pour décrire notre désarroi devant une énigme sans espoir de résolution.
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Jean-Pierre Plundr, peintre, à propos de la fresque, octobre 2015.