Peinture acrylique, collages sur supports en bois. De 2005 à 2O10.
Je les ai nommées SIGNALISATIONS mais elles figurent bien d’autres choses que celles présentées sur les panneaux plantés dans les rues. Nos villes sont parsemées d’images, grossières et impératives, qui signalent aux piétons et automobilistes conditionnés comment et où se diriger, et aussi comment acheter, consommer et même, insidieusement, comment penser. Où sont les images dont les signes tentent de signifier, de faire rêver, imaginer?
Mes SIGNALISATIONS n’indiquent rien ou sinon seulement ce que veulent y voir les personnes qui les découvrent. Elles les invitent à suivre leurs propres routes buissonnières. Elles relèvent d’un code de la déroute. Une des fonctions de l’art n’est-elle pas celle de dérouter ?
Peinture acrylique, collages sur supports en bois. De 2005 à 2010.
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